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27/07/2011

ANDRE CHASSAIGNE / FRONT DE GAUCHE ET LE PCF AVEC LE RASSEMBLEMENT POPULAIRE

parti communiste français,andrè chassaigneIntervention lors de la Fête du travailleur alpin le 2 juillet dernier du député du Puy de Dôme sur la conception et le rôle du Front de Gauche et du Parti Communiste Français (photo André Chassaigne avec à ses côtés Marie Christine Vergiat, dputée Européenne du Front de Gauche).

A cette occasion il a rappelé l'importance de l'intervention du mouvement populaire pour imposer un vrai changement avec la mise en place d'une politique économique et financière véritablement alternative et l'existence d'un Front de Gauche respectueux de tous, avec un Parti communiste fort.

 

19/06/2011

APPEL D'ANDRE CHASSAIGNE

chassaigne1.jpgA la disposition du peuple de France

 Le peuple de France dispose aujourd’hui d’un Parti communiste en bon ordre de marche pour les échéances décisives de 2012 et pour répondre aux attentes de toutes celles et ceux qui sont en souffrance. Cette unité des communistes, avec leur capacité de conviction et d’action, est la seule garantie d’en finir avec la mal vie pour construire un avenir libéré des forces de l’argent.

Les conditions du débat indispensable sur la conception du Front de gauche et sur la démarche qu’il doit porter dans les mois et années à venir ont été clarifiées par la décision de la Conférence nationale de responsabiliser tous les communistes. C’est un acte décisif qui permet aujourd’hui de nous rassembler autour d’un objectif politique commun avec les élections présidentielles puis législatives de 2012.

Je prends acte de la décision majoritaire des communistes, qui s’est construite sur la base du contrat politique travaillé avec les partenaires du Front de gauche. Cet accord d’ensemble comporte les orientations politiques et la conception de la campagne, ainsi que le programme populaire et partagé. J’espère qu’il sera rapidement finalisé par la conclusion de l’accord sur les législatives, dans le respect de chacune des organisations, garantissant ainsi l’implication de toutes les forces du Front de gauche et le soutien à ses candidates et candidats sur l’ensemble du territoire.

Comme je l’ai affirmé tout au long de la période de débat sur les différentes candidatures, je m’engage pleinement dans la perspective d’un large rassemblement des Françaises et des Français autour de notre ambition commune et du programme populaire et partagé. Afin d’accentuer la dynamique de rassemblement du Front de gauche, je suis toujours convaincu que l’implication populaire doit être un axe déterminant de notre campagne pour construire les contenus de la transformation sociale et écologique que nous voulons.

C’est par ce travail de fond sur les consciences que nous pourrons au mieux concrétiser notre volonté d’un autre projet de société. Amplifions pour cela notre construction politique collective, encourageons l’action et l’engagement du plus grand nombre, appuyons toutes les luttes et tous les combats qui se font jour. Soyons donc audacieux pour sortir du formatage de la politique-spectacle ! C’est en initiant réellement une pratique répondant aux nouvelles attentes populaires que nous redonnerons à la politique ses lettres de noblesse et que le Front de gauche prendra une dimension nouvelle, dépassant largement les seules organisations qui le composent, pour en faire une propriété citoyenne.

C’est aussi cette démarche qui nous permettra de peser dès aujourd’hui, concrètement, sur les orientations de la gauche dans son ensemble, sans attendre le rapport des forces issu des élections. Plus que jamais, notre Parti, avec la richesse et l’expérience de ses militants, doit être au cœur de cette implication populaire. Notre responsabilité est énorme pour apporter des solutions de haut niveau à la fracture de civilisation mise en œuvre par les forces de l’argent.

J’en appelle solennellement aujourd’hui à la responsabilité politique de chaque communiste, quel qu’ait pu être son choix pour la désignation du candidat du Front de gauche, pour qu’il entre et participe sans retenue à la bataille qui s’engage.

L’avenir de nos concitoyens, celui des peuples d’Europe et le propre avenir de chacun d’entre nous en dépend. 

 

MESSAGE DES COMMUNISTES D'EVRY

A NOTRE CAMARADE ANDRE CHASSAIGNE

Le vote de notre section en faveur de Jean-Luc Mélenchon pour le choix du candidat Front de gauche compte tenu de ce qu’est à ce jour l’élection présidentielle est dicté par la raison.

Nous voulons y ajouter cette motion te concernant pour t’exprimer notre remerciement pour toutes les contributions et actions que tu mènes au niveau local et national, tout ce qu’elles nous apportent de clarté pour notre vie militante et pour le rôle que tu attribues pour l’avenir de ce pays au PCF et avec lequel nous sommes profondément d’accord. C’est pourquoi nous souhaitons si tu le désires que tu participes au plus haut niveau à la campagne qui va démarrer.

Salut fraternel des camarades de la section d’Evry.

22/05/2011

André Chassaigne. « Ma volonté : travailler pour l’avenir »

100_6467.jpgdéputé du Puy-de-Dôme

« J’ai fait ce tour de France et je suis présent aujourd’hui en Saône-et-Loire avec l’objectif de faire avancer quelques idées.

Je suis de ceux, majoritaires dans mon parti, qui croient en l’avenir du PCF. Je ne me place pas du tout dans une sorte de dilution de celui-ci dans un ensemble plus large, car pour permettre la transformation sociale il faut une organisation politique. Je crois, par ailleurs, à ce que nous bâtissons avec le Front de gauche.

Cela permet de peser sur la vie politique dans le bon sens.

J’aurai préféré que le PCF soit en capacité de le faire. Mais ce n’est pas aujourd’hui le cas. Avec cette dynamique du Front de gauche nous obtenons des résultats. C’est un plus pour chacune des forces politiques. Nous retrouvons une écoute que nous avions perdue. Si nous ne nous enfermons pas dans la seule relation entre les forces politiques qui le composent, ce rassemblement peut nous permettre d’avancer.

J’ai fait acte de candidature à la candidature du Front de gauche pour l’élection présidentielle. Mais je ne me place pas dans un comportement de clivage. Quelle que soit la candidature qui sera finalement retenue, ne soyons pas frustrés si ce n’est pas un communiste.

 Il nous faudra nous investir sans hésitation, nous lancer dans la bataille pour obtenir les meilleurs résultats à la présidentielle et aux législatives qui suivront. Ma volonté est celle de travailler pour l’avenir. Dans le cadre de cette campagne, l’intervention communiste sera indispensable. Non en contradiction avec le Front de gauche mais pour accompagner, porter, développer cette dynamique du Front de gauche.

L’important, c’est de battre Nicolas Sarkozy et de peser sur le contenu du changement autour des questions de la maîtrise de l’argent, des exigences sociales et des pouvoirs nouveaux pour les citoyens. »

André Chassaigne

13/11/2010

Coconsensus, André Chassaigne

100_7531.JPGPortrait publié par le journal Libération

André Chassaigne. Chaleureux et bosseur, le député auvergnat PCF défie Mélenchon pour la candidature Front de Gauche en 2012.

Par LILIAN ALEMAGNA

C’est un beau gaillard. Un mètre quatre-vingt-dix et plus de cent kilos à la pesée. En boxe, il serait chez les poids lourds. En politique, il vient de passer de la catégorie des légers - dont personne ne connaît le nom - à celle des moyens - à qui les médias entrouvrent quelques portes. Député du Puy-de-Dôme, le communiste André Chassaigne, 60 ans, est sur les rangs pour 2012, «candidat à la candidature» du Front de gauche, cette alliance qui regroupe le PCF et le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. «Dédé» - son surnom en Auvergne - s’est déclaré en septembre, en pleine Fête de l’Humanité. On l’a affublé du titre de «missile antiMélenchon», lancé par la direction de son parti pour concurrencer l’ex-socialiste, omniprésent dans les médias, et rassurer des camarades soucieux de voir l’un des leurs défendre la marque PCF. «Je ne suis pas le candidat de la direction», se défend Chassaigne. Et de «lutte» avec Mélenchon, il n’est officiellement pas question. Un «besoin d’illustrer la pluralité du Front de gauche», justifie-t-il un brin langue de bois.

André Chassaigne s’est déjà fait remarquer. Au printemps 2008, en plein débat sur les OGM à l’Assemblée nationale, il réussit à faire passer un amendement, le «252», qui interdit les cultures OGM dans les zones de produits de qualité. Puis, au moment du vote, il fait annuler le texte grâce à une motion de procédure. «A ce moment-là, je me suis dit : "Ce type a du talent", quelqu’un qui ne renonce pas, dit de lui Jean Lassalle, député Modem des Pyrénées-Atlantiques avec qui il s’est lié d’amitié. C’est une espèce politique en voie de disparition. Comme les ours, il faudrait en réintroduire des comme lui dans certaines régions.» Mais sa notoriété est encore faible à côté de Mélenchon.«Je suis un peu un artisan face à une PME», plaisante-t-il. Sans le soutien des «copains députés», il aurait «déjà jeté l’éponge».

Pour rattraper le retard, André Chassaigne multiplie les déplacements. Comme en cette journée de fin d’octobre où il enchaîne l’inauguration d’une gendarmerie dans sa circonscription de Thiers-Ambert, une rencontre avec des militants et, dans le Cantal, des dédicaces de son livre, dans lequel il retrace son «cheminement» de communiste écolo.

Avec sa moustache grise, fournie, sa coupe de cheveux en brosse et ses gros sourcils, l’Auvergnat joue à fond la carte du «sympa». Sourires, humour, un côté «gros ours bien léché» jamais à cours d’anecdotes. Ce fils d’ouvrier, né à la «clinique Michelin» de Clermont-Ferrand, tutoie n’importe qui avec son accent du Forez et ses «an» appuyés. «Il met tout le monde dans sa poche, cherche le consensus», explique Marie-Pierre Vieu, son éditrice et responsable PCF. Son enthousiasme - communicatif - déborde. Ses bras tombant le long du corps lui donnent un air balourd, vite effacé par des gestes rapides, parfois brouillons. Une sorte d’hyperactivité que trahit un tic à l’épaule gauche. «Il se disperse», sourit Corinne, sa collaboratrice depuis treize ans. «C’est un gourmand, poursuit Marie-Pierre Vieu. Il est au mental ce qu’il est au physique : curieux, qui aime la nouveauté. Et un bosseur acharné qui a le sens du collectif.»

Le fief d’André Chassaigne, c’est Saint-Amant-Roche-Savine. Un petit village de 500 habitants entre Clermont-Ferrand et Saint-Etienne. Dans le coin, on tombe sur des Chassaigne depuis le XVIIe siècle. Lui a débarqué à 22 ans avec sa femme, comme lui professeure d’histoire-géographie et de lettres dans un collège dont il est devenu principal. Avant, il a connu les cités Michelin de Clermont avec ses trois frères et sa sœur, l’école publique. «Quand j’avais 9 ans, confie-t-il, un directeur d’école a lancé à mon père : "Bernard et Alain [ses frères, ndlr], vous en ferez quelque chose, le gros vous n’en ferez rien."» Au changement d’établissement, «j’ai bossé, bossé, bossé», jusqu’à réussir le concours de l’Ecole normale à 16 ans. Puis entrer aux Jeunesses communistes.

Ses parents votaient PCF sans avoir la carte. Lui la prend, «subjugué» dans son enfance par un militant handicapé qui vendaitL’Huma Dimanche. Il obtient son premier mandat de conseiller municipal à 27 ans. Six ans plus tard, il devient maire du village, poste qu’il vient de quitter, remplacé par… son fils de 31 ans, éducateur spécialisé et dernier de ses trois enfants. «Je n’étais pas trop pour», glisse-t-il gêné.

Grand-père de trois petites-filles, André Chassaigne a connu tous les mandats locaux avant de décrocher celui de député. Il fut le seul communiste à gagner, en 2002, une circonscription jugée imprenable. En 2007, il double ses voix, rafle plus de 60 %. Même succès aux dernières régionales : 14 % en Auvergne, meilleur score national du Front de gauche. «C’est une personnalité qui dépasse le cadre des partis, décrypte Georges Chometon, ancien président UDF du conseil général du Puy-de-Dôme. Il est collé au terrain, a des amitiés partout. Il aime les gens et ils le ressentent.» «Il prend des voix à tout le monde, ajoute l’Auvergnat Brice Hortefeux. Mais il le fait avec une réelle chaleur qui n’est pas que de l’habileté.»«Je travaille sans sectarisme mais je ne mets pas mon drapeau dans la poche», se défend Chassaigne. «C’est un grand séducteur», ajoute Jean Lassalle. Et un vrai malin. «Il joue au naïf : c’est sa manière de désamorcer les choses», dit Marie-Pierre Vieu.

Chassaigne croit aussi en sa méthode. Une présence permanente sur le terrain, des «conseils de circonscription», un programme pour les régionales construit «par le bas». «Il faut que les gens s’approprient la politique, se défend-t-il. Qu’elle soit une construction collective et ne soit pas une affaire de spécialistes.» Pendant ses rencontres, il note tout ce que lui racontent, ici des cheminots CGT, là des agriculteurs. «Je travaille à l’ancienne», sourit-il dans son petit bureau qui lui sert de permanence à la mairie de son village. Dans le renfoncement d’un mur, il compile dossiers, rapports et articles de presse. «Il ne faut pas aller auprès des gens pour faire avaliser les théories d’une élite intellectuelle, ajoute-t-il. Il faut les faire parler, qu’ils avancent des propositions.» Et que le politique«ne craigne pas de dire qu’il ne sait pas tout». Démago ? Langue de bois ?«C’est comme ça qu’on luttera contre l’abstention», se défend Chassaigne qui veut transposer sa pédagogie politique au plan national. Certains le mettent déjà en garde contre la tentation de troquer par facilité sa «pratique populaire» contre du populisme. Comme lorsqu’il joue au type de la campagne qui fait la morale aux«Parisiens». «J’ai voulu surfer là-dessus, je me suis fait remettre à ma place et à juste raison, concède-t-il. Mais il faut que je sorte de cette image de "type sympa auquel on n’a pas grand-chose à reprocher".»Et profiter de cette candidature pour se tailler un profil de ministrable agricole. Se faire une place chez les poids lourds politiques de 2012.

Photo E-mosaïque

En 8 dates, 2 juillet 1950 Naissance à Clermont-Ferrand, 1966 Adhère aux Jeunesses communistes, 1977 Conseiller municipal, 1983 Elu maire, 2002 Député PCF du Puy-de-Dôme, 2007 Réélu député, Août 2008 Pour une terre commune (Arcane 17), Septembre 2010 Candidat à la candidature Front de gauche pour la présidentielle.

09:51 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : andré chassaigne, pcf, présidentielle | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

24/10/2010

LIER L'ECOLOGIE ET LE SOCIAL

chasagne.jpgAndré Chassaigne, député PCF du Puy-de-Dôme, revient, dans un ouvrage, sur « sa prise de conscience progressive sur les questions environnementales ».

Il était la veille dans le sud de la France. Sur le chemin du retour vers le Puy-de-Dôme, André Chassaigne, député PCF et candidat à la candidature du Front de gauche (FG) à la présidentielle, a fait étape à Saint-Flour pour dédicacer son ouvrage Pour une terre commune, à la librairie du faubourg (*).

Sa candidature ? « Je suis attaché au Front de gauche et ma démarche se place dans le souci qu'il se développe et s'installe durablement dans le paysage politique ».

« Je me situe, bien sûr, dans la dynamique Front de gauche et quoi qu'il en soit, je souhaite qu'il y ait, au final, un candidat unique. Au sein du FG, il y a plusieurs composantes et donc plusieurs candidats possibles », insiste le parlementaire.

André Chassaigne l'assure : il ne se place pas « en terme de concurrence » avec Jean-Luc Mélenchon, mais « de complémentarité pour essayer aussi d'orienter ce que sera la politique du FG dans un sens qui [lui] semble le sens juste ».

Le député auvergnat a été découvert par le grand public en 2008, en déposant un amendement au projet de loi sur les OGM. Un des chapitres de Pour une terre commune revient justement sur « cette bagarre » qu'il a conduite.

« J'ai eu une prise de conscience progressive sur les questions environnementales. Et cela à partir de mon travail à l'Assemblée où, depuis 2002, j'ai pris en charge, parmi les députés communistes, ces questions et les sujets agricoles et d'aménagement du territoire. »

Dans son livre, qu'il définit comme « un ouvrage de fond », où il formule différentes propositions, il remet notamment en cause le productivisme et plaide pour de « nouveaux modes de production ». « J'essaie d'expliquer qu'il faut qu'on change nos modes de vie mais qu'avant - car ce n'est pas la solution de culpabiliser le citoyen - il faut d'abord changer le mode de production et tout le système qui fait qu'on pousse à la consommation et qu'on est en train de pourrir la planète. »

Capitalisme vert

André Chassaigne assure aussi, entre autres, qu'il « faut qu'on se pose la question d'une nouvelle croissance », pointe du doigt « l'hypocrisie du Grenelle de l'environnement », affirme que « le capitalisme vert est un outil mis en place par le capitalisme pour continuer à augmenter ses profits », et consacre une partie aux « biens communs de l'humanité »

« Chaque fois, poursuit-il, j'essaie de faire le lien entre le social et l'écologie, parce que les premières victimes des atteintes portées à la planète sont les plus modestes ».

Sébastien Besse, article publié dans La Montagne

09:46 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : andré chassaigne, écologie, pcf | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

11/12/2009

Mise au point d’André CHASSAIGNE et Jean-Jacques PARIS

buffchas.jpgLe journal Le Monde dans son édition du 9 décembre 2009 fait référence, dans un article intitulé : « Régionales : la candidature du numéro deux du PCF en Ile-de-France contestée », à une réunion de l’Association nationale des élus communistes et républicains ( ANECR) qui aurait débattu de cette question.

De quelle réunion s’agit-il ? Quand s’est-elle tenue ? nous n’en saurons rien.

Pour la bonne et simple raison que cette réunion n’existe pas, n’a pas existé et n’existera pas. Pour la bonne et simple raison que ce n’est ni du rôle, ni de la responsabilité de l’ANECR de se prononcer sur le choix de candidats, de listes de candidats et de têtes de listes, quelles que soient les élections concernées. La désignation des candidats est une affaire démocratique des partis et forces politiques, pas de notre association.

L’ANECR rassemble, de plus en plus, et nous l’espérons de mieux en mieux des milliers d’élus communistes, républicains et progressistes (plus de 11000 à ce jour et non « quelque six mille » comme l’annonce Le Monde).

Aujourd’hui et probablement plus encore demain, après les élections régionales, de très nombreux élus régionaux de sensibilités différentes à gauche auront à cœur de rejoindre l’ANECR durablement ou pour des projets communs.

C’est la raison d’être de notre association que nous voulons espace commun d’élaborations et d’actions, avec esprit d’audace, du conseiller municipal de village au parlementaire.

Si le journal Le Monde a voulu faire référence au bureau national de l’ANECR qui s’est tenu le mercredi 9 décembre, il aurait du annoncer que cette réunion a pris acte de la mobilisation grandissante qui se développe dans le pays pour faire échec à l’attaque historique portée aux collectivités locales, aux services publics, à l’Intervention publique dans toutes ses dimensions, avec la « réforme territoriale » et celle de la taxe professionnelle.

Il aurait du annoncer que nous appelons à une manifestation nationale contre ces réformes le 19 janvier prochain, à Paris et que nous invitons tous les élus communistes, républicains et progressistes, candidat ou non, à s’engager pour la réussite de cette manifestation.

Le 10 décembre 2009

09:45 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, régionale, andré chassaigne | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!